Arrive par avion en Allemagne. (PV Tom of course!) [A]

"Si c'est toi qui fait une connerie, ça reviendra au même, Tommy..."

Il baissa les yeux et finit par s'assoir dans l'ambulance.

"Mais si tu savais combien j'ai eu peur aussi... Et la dernière chose que je me souvienne c'est d'avoir appeler l'ambulance..."

Il lui fit signe de venir s'asseoir à côté de lui, timidement.

"J'voulais pas te faire peur ! J'voulais juste que tu puisses vivre heureux avec Hannah. J'voulais pas t'faire d'la peine, j'te promet, je t'aime trop pour ça Gustav... J'suis tellement désolé."

"C'est pas en te savant mort que je pourrais vivre heureux avec qui que se soit." finit-il par dire après s'être assis à côté de Tom. "Car même si un jour j'arrive à vivre heureux avec quelqu'un, je sais que toujours je t'aimerais, et que toujours tu devras avoir une place importante dans ma vie. Sans ça, je serais plus rien moi..."

Et oui, Gustav avait enfin compris qu'avec Tom il ne pourrait être heureux, mais qu'il avait besoin de lui pour l'être quand même. Il admettait enfin qu'il pourrait être heureux sans sortir avec le guitariste.

Il se serra doucement contre lui, baissant les yeux honteusement.

"Dis... [Encore un ?!] Hein qu'on arrivera à être heureux tous les deux en restant juste amis ?"

Il releva les yeux vers lui.

"Et en vie..." ajouta t-il tout bas.

[Han ils s'mettent partout ceux là ! ^^ ]

"J'espère Tommy... J'espère. Mais juste pour te savoir en vie et près de moi, je ferais tout pour l'être."

Il l'embrassa sur la joue tendrement.

"J'ai le droit à un dernier vrai bisou avant qu'on soit juste amis jusqu'à la fin involontaire de nos jours ?" demanda t-il timidement.

"On peut pas faire que c'est toute la journée avant le commencement de juste l'amitié ? Comme ça a pleins de bisous et de calins. Genre la provisions pour toute la vie qui nous resteras ?"

Il rougit timidement et posa doucement ses lèvre sur les siennes.

"Tu sais... La journée est presque finie... Ca changera pas grande chose. Mais... D'accord. Je peux par refuser une proposition comme ça !
Dis, tu crois que les gens réagiraient comment si je te dis que je t'aime, en public alors qu'on est juste amis ?"

"Bah non une journée ça se finit à minuit et il est encore tout jour regarde ! On voit même pas la couleur de quand le soleil il se couche.
Et puis, tu sais, je m'en fou de qu'est ce que les gens y pensent. Je me priverais pas de dire à un ami que je l'aime en public."

C'était à Gustav de poser timidement ses lèvres sur celles de Tom.

"Il fait peut-être encore jour, mais il est dix-neuf heures, déjà..."

Il répondit à son baiser, lui caressant doucement la joue.

"Et bien j'm'en priverai pas non plus alors !"

Il compta sur ses doigts.

"Une heure, deux heures, trois heures, quatre heures, cinq heures."

Il regarda fièrement Tom.

"On à cinq heures, c'est trop classe nan !?"

Gustav ria légèrement.

"Dit, ta pas trop trop mal ?"

Il rit doucement.

"Oui, cinq heures, trop la classe. Et... La nuit ? On y a le droit ou pas ? Ca nous ferait au moins douze heures..." constata t-il timidement.

Il l'embrassa de nouveau.

"Non... Pour l'instant ça va. C'est supportable. C'était pire tout à l'heure."

Il lui sourit tendrement.

"On reste dans l'ambulance jusqu'à quand ?"

"Haaaaan trop la classe !! Ze veux la nuit, ze veux, ze veux, ze veux !!" affirma t-il, le regard légèrement brillant.

Il l'embrassa à son tour.

"J'espère que ça te feras pas trop mal..."

Gustav essaya de ne pas faire une moue mais c'était trop dur. Il s'en voulait légèrement et ça se voyait quand même.

"Jusqu'ààààà.. Ce que les infirmiers -qui soit dit en passant nous on pas lacher des yeux- décident de t'emmener dans une chambre ?"

"Et bah tu sais quoi, et bah on la prend !" déclara t-il sûr de lui, les mêmes étoiles dans les yeux, un tout petit sourire sur les lèvres.

Il le regarda tendrement, gêné qu'il s'inquiète pour lui.

"Dans tes bras, je pourrais me faire transpercer que j'aurais pas mal. T'es le meilleur anesthésiant que je connaisse."

Il lui caressa la joue du bout des doigts.

"Tu m'portes jusqu'à ma chambre ?"

"Vraiment ? Trop classe !"

Il souriait franchement, le regard complètement lumineux.

"Je t'aime Tommy."

Gustav se mit à rougir doucement.
Finalement il se leva et tendit légèrement les bras.

"Avec plaisir. Faut seulement que je vois comment faire pour te porter sans te faire mal."

Il rit. Attendri.

"Arrête un peu ! J'suis pas en sucre ! Tu vas pas me faire mal ! La seule chose, c'est que... Mes jambes répondent pas. Donc pour venir jusqu'à toi et bah tu vas devoir faire le chemin seul..."

Il le regarda, une lueur de panique passant dans ses yeux.

"Elles répondent plus ?!"

Finalement, il s'avança un peu et se risqua à le prendre dans ses bras, le portant comme une princesse.
Il avait peur de lui faire mal et donc malgré tout ce que pouvait dire Tom il faisait doucement.
Gustav sortit de l'ambulance et entra dans l'hôpital et demanda un chambre. On la lui refusa. Finalement, un infirmier arriva, expliqua et on leur donna une chambre.

"Non... Elles sont pas sages. Elles veulent plus faire ce que je veux."

Il sourit et passa ses bras autour du cou de Gus', posant doucement sa tête sur son épaule. Il n'avait pas mal le moins du monde. A vrai dire, il ne sentait plus rien, tant que ça concernait tout ce qui se trouvait sous la ceinture. Pour un lapineur pro comme lui, c'était un peu gênant...

"Mais c'est juste à cause du choc, tout iras mieux après, hein ? En tout cas j'espère."

Il soupira et finalement il le posa sur son lit et piqua la chaise et la rapprocha du lit de Tom, ne voulant de trop le déranger.

"J'peux t'avouer un truc ?"

Il hocha la tête. Il réfléchit deux secondes.

"Hm... Nan."

Il se poussa un peu et lui montra la place qu'il lui avait laissé.

"T'as le droit de m'avouer un truc que si tu viens là."

Il ria d'un rire de gamin, légèrement soulagé.
Le batteur vint donc se mettre là bas, tout souriant.

"En faite, je voulais juste dire que je voulais pas que toutes ses dernières heures passent vite et que je voulais plutôt qu'elle s'arrête."

Il rougit légèrement, allez savoir pourquoi vous tient !

Il le regardait sérieusement, prêt à entendre la révélation de l'année et quand il l'entendit, un sourire plus qu'attendri naquit, grandissant rapidement sur ses lèvres.

"Si tu veux, on arrête tout maintenant, my friend, comme ça, elles ne passeront pas vite, puisqu'elles ne passeront pas du tout..."

Il commença à faire une mine boudeuse, ne prenant même pas la peine de répondre à ça.

Il rit, on ne peut plus fier de sa connerie et l'embrassa tendrement.

"J'préfère qu'elles passent vite mais qu'on en profite à fond, jusqu'à la dernière seconde."

"C'était même pas drôle !" avoua t-il alors qu'un sourire commencer à apparaitre.

Il ria légèrement, puis finalement il l'embrassa de nouveau, à son tour.

» [A] A peine sortit de l'avion ... (Georg)
» J'arrive. [Pv Sam.] [A]
» Arrive .. S'installe .. Et bois . [E.C]
» Arrive chez elle (Hannah) [A]
» vive la drague!!! enfin quand on y arrive... (pc 1er pers) [A]