[A] Mais il s'piquait mon héro, a L'hero . [Pv]

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Oui, je sais bien que ça le tue de l'intérieur un jeu pareil. Mais après tout, c'est lui qui l'a lancé, hein. M'enfin, ça fait trop gamin ça. Il me regarde, non m'admire. Différent. La différence ? Je me sens apprécié, aimé, beau. Une énorme différence, qui s'appelle la confiance en soi.

Il gémit au moment où je mets mes doigts dans ma bouche. T'inquiète pas mon coeur, bientôt ce sera autre part qu'ils seront, et ça te fera crier de plaisir. Faut pas qu'je pense à ça moi.

J'imagine que là, j'pourrai casser des briques avec ma queue tellement je suis dur. Encore que non, ça me ferait encore plus mal que je ne l'ai maintenant, et je trouve ça bien suffisant. Je le vois fermer les yeux. Il est tout bonnement magnifique dans cet état. Et dire que c'est grâce à moi qu'il est comme ça.

Il n'aura pas longtemps à se retenir de se toucher puisque mes doigts vont lentement vers son intimité. Après avoir joué avec l'anneau de chair à détendre, j'y entre un doigt doucement et le tortille légèrement dans tous les sens à l'interieur.

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Alors là non, il allait pas être déçu. Loin, très loin de là même d'ailleurs. Et moi, j'allais prendre un désir fou à lui faire plaisir. Hum, la percpective m'enchante énormément J'ai vraiment hâte d'être à la suite des réjouissances.

Je bouge mon doigt en lui mais ça n'a pas l'air de lui suffir. En même temps je comprend, mes doigts sont tout fins, malgré que plutôt longs. Il bouge le bassin et je décide d'entrer un deuxième doigt. Lentement, doucement, tendrement, et de le bouger de nouveau en lui. Là normalement ça devrait aller un peu mieux.

Sa main glisse sur sa cuisse, l'interieur de sa cuisse, mais je la retire doucement pour la remplacer par mes lèvres et ma langue. J'embrasse, mordille, suce, lèche amoureusement cette peau offerte et couverte de centaines de milliers de terminaisons nerveuses qui font qu'elle est érogène.

Alors que j'entre un troisième doigt en son interieur que je bouge lentement à son tour, et que ma deuxième main lui caresse le visage avec une tendresse infinie, un amour non contenu.

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Haaan .

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Maintenant je suppose qu'il est prêt. Et puis si jamais il l'est pas, c'est pas contre lui mais j'en peux plus là alors il va devoir s'y faire. Je fais un dernier aller-retour plus fort que les autres, histoire de lui montrer que ça y'est, ça va être le passage à l'acte réel. Mes lèvres embrassent une dernière fois l'interieur de sa cuisse et puis je retire mes doigts de lui et remonte mon visage au sien.

Et alors que je le pénetre lentement, amoureusement, mes lèvres se posent sur les siennes en un baiser passionné et amoureux. Je progresse en lui millimètre par millimètre, sentant son étroitesse et sa chaleur m'envelopper au fur et à mesure de ma progression, j'ai la tête qui tourne et les yeux qui se révulsent légèrement sû à ce plaisir, cette envie assouvie, ce désir constant.

J'avance lentement en lui, comme si j'allais le casser avec un mouvement trop brusque. Je sais, je nous frustre tous les deux, mais c'est tellement bon, et ce sera tellement meilleur après que je pense qu'il me pardonnera bien cette attente, comme je lui pardonne amplement l'attente précédente.

Ma langue prénètre sa bouche à la manière donc ma virilité pénètre son intimité, lentement. Là aussi je nous frustre, mais peu m'importe. Je ne pense plus qu'à lui, ne vois que par lui, et suis en lui. C'est tout ce qui compte à mes yeux.

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Plus rien autour, même pas mon téléphone qui sonne. J'suis con, j'aurai pu le mettre sur vibreur. M'enfin je m'en tape, le gen attendra hein. Et puis rien n'est plus important que mon amour, ma vie, mon ange. Lui, la chaleur de son corps autour de moi, contre moi, ses lèvres douces que je caresse doucement du bout de la langue, ses mains dans mon dos qui m'emportent loin d'ici.

Mon monde n'est empli que de lui, lui et toujours lui. Ce n'est d'ailleurs pas pour me déplaire. Je mets fin au baiser pour le regarder prendre du plaisir. Ses traits tirés, ses gémissements à mes oreilles, ses doigts qui se crispent. Gott que c'est bon.

Je n'ai encore jamais fait l'amour comme maintenant. Jamais si lentement, et jamais ça n'a été si bon. Mon visage et mes lèvres se posent dans son cou alors que je suis complètement en lui. J'attends quelques minutes, le temps qu'il s'habitue à ce changement de diamètre si important.

Ma respiration est déjà saccadée, mon coeur bat déjà plus vite, et mes maisn caressent son visage au plaisir tellement visible. Pour ma part, je fais juste une moue de plaisir intense mais je pense que d'ici peu mon visage sera au moins aussi tiraillé que le sien par le plaisir, le désir, et l'envie.

Pour le moment, je plonge mes yeux dans les siens, reflétant l'amour et la tendresse à son égard, ainsi que mon envie. Une de mes mains lui frôle les côtes et la hanche avant de remonter et de recommencer.

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Je me sens tellement bien, si léger. Jamais auparavant je n'ai été dans un tel état de transe et de plaisir intense. J'embrasse son cou, cette peau satinée qui n'attend que mes lèvres à chaque rencontre. Je l'aime. Putain oui je l'aime.

Je le sens bouger légèrement sous moi. Il doit être prêt, c'est en tout cas ce que je conclue de ces mouvements. Alors j'entame une sortie. Lente, progrssive, tout comme mon entrée, mais en légèrement plus rapide. A ce rythme-là, je tiendrai pas longtemps. Mais peu importe.

Je passe une main sous son bassin et caresse doucement la peau que je peux atteindre tandis que mes lèvres descendent légèrement et embrassent son torse avec tendresse.

Ma langue lèche la peau qui passe à sa portée. Mes lèvres laissent des marques violettes sur la peau de mon ampour et amant. Parfois mes ongles y laissent quelques griffures superficielles.

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J'en peux plus, j'suis en train de mourir de l'interieur, ça brûle et ça tire en dedans. J'tiens plus et je commence des mouvements de vas-et-viens pas trop rapides mais pas trop lents non plus. Juste la vitesse qu'il faut.

Ma respiration s'accélère encore, mon torse bouge au rythme de celle-ci, et des gémissements sortent de ma bouche tandis que ma moue se transforme en oeuvre d'art, interprétée comme un plaisir orgasmique.

J'ai juste peur que ça se finisse trop vite vu notre état d'excitation au début du rapport. Mais peu importe, même si ça ne dure pas longtemps, ce sera la meilleure fois de toute notre vie. Mais j'préfererai quand même que ça dure un minimum de temps.

Une de mes mains s'enroule autour de sa virilité, et entame des mouvements semblables à ceux que je fais en lui.

Je l'admire. Il est tellement beau quand il prend son pieds mon amour. Un sourire étire mes lèvres alors que je fais un mouvement un peu plus rapide et fort que les autres puis je reprends mes mouvements tels qu'ils l'étaient auparavant.

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Je le regarde encore et toujours, l'observe et l'admire, l'aime par le regard. Waw voilà que j'fais d'la poésie moi. Hm bref. Il se crispe un peu et gémit alors que ses traits s'étirent un peu encore. Il est simplement beau.

Je sens son coeur taper, aussi fort que tape le mien mais dans l'autre sens. Je sais qu'il bat pour moi, et que le mien bat grâce et pour lui. Cette pensée fait naître un sourire tendre et amoureux sur mes lèvres rougies et légèrement gonflées par le plaisir.

Ses yeux et les miens se connectent et son sourire me rend heureux d'être là avec lui. Ses doigts dans mon dos me procurent toute sorte de frissons incontrôlables.

Je gémis son prénom sans relâche, qu'il se rende bien compte que c'est lui et lui seul qui me fait un effet pareil, et que jamais personne au monde ne pourra me faire resentir tel plaisir. Je veux qu'il sache qu'il sera à jamais le dernier avec qui je partagerai des moments de telle intimité.

Je sens la délivrance proche mais je ne veux pas. Je le dois pourtant. Et dans un dernier cri, grave, rauque, comme un râle, je me déverse en lui avec une force incroyable tandis que je me cambre et que mon visage s'étire en une moue de plaisir orgasmique.

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Wow'

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A la fin de ce merveilleux orgasme commun, j'ai comme l'impression qu'on est aussi terassés l'un que l'autre. Je me retire, gémissant une dernière fois, et roule sur le côté pour le coucher sur le dose.

Mon visage est tourné vers lui, constellé de sueur, rougit par l'effort. Je le regarde, l'admire, mais ne peux sortir un son. J'ai été tout bonnement ébloui par la puissance de cet ébat. Le meilleur de tous ceux que j'ai vécu et que je vivrai jamais. Je reprends peu à peu respiration normale tandis qu'un sourire amoureux éclaire mon visage fatigué.

Ma main prend la sienne et nos doigts se croisent alors que je pose ma tête dans son cou et que je respire cette odeur de lui mêlée à la sueur, tellement douce. Oui, même transpirant, il sent trop bon mon chéri, parce que c'est lui et pas un autre.

Et Jimi Hendrix sait qu'il n'y en aura jamais d'autre. D'ailleurs j'espère que Maxime aussi sait qu'il n'y en aura jamais d'autre.

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Je dépose doucement mes lèvres contre les siennes puis remets mon visage dans son cou. Il embrasse ma main ce qui me fait sourire. Puis je le sens et le vois s'endormir.

Moi je n'y arrive pas. Bien que fatigué, j'arrive pas à dormir. Alors je le regarde. Il ressemble encore plus à un ange quand il dort. Je l'aime tellement que je pourrai mourir pour lui, il le sait déjà mais je veux le lui dire, le lui répéter à longueur de journées, et même le lui prouver s'il ne me croit pas.

Un sourire apparait sur ses lèvres. Il doit rêver à un truc merveilleux pour que ça éclaire à ce point son visage endormi.

Pour ma part je repense à la promesse que m'a faite Tom. Il a dit qu'il promettait de rester pour être mon témoin à mon mariage. Mon mariage. Si seulement j'avais le courage de demander à mon homme. Mais malgré ce que je fais croire, ce que je laisse paraître, je suis un trouillard.

J'ai toujours peur de me faire rembarrer, qu'on se foute de ma gueule. Ce depuis petit. Et là j'ai encore plus peur que c'est lui l'homme avec qui je veux finir ma vie, avec qui je veux mourir, ce serait la plus belle mort du monde.

C'est sur ces pensées que je sombre dans le sommeil, un sommeil profond empli de promesses toutes aussi belles les unes que les autres, de mon homme, de mon Tom et tous les autres.

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Je dors bien. Réfléchissant, pensant, m'imaginant notre mariage et Maxime en robe de mariée. Putain qu'il était beau ! Je souris dans mon sommeil.
Et je repars dans mes pensées toutes plus connes les unes que les autres mais tellement merveilleuses.
J'imagine aussi Tom dans un costard. Ca me fait bien rire, de le voir habillé en pinguin. Remarque, il en a la démarche grâce à ses fut'.

Au bout d'un certain temps quand même, je me réveille. Normal quoi. Je tourne mon regard sur le réveil : 10h30. Putain, j'ai bien dormi. Je regarde de l'autre côté, là où mon homme dort.

Je suis émerveillé. Il dégage une aura avec un charisme hallucinant. Je me souviens pas de l'avoir jamais vu aussi beau le matin en me réveillant sauf quand lui était déjà réveillé depuis longtemps.

Mais là. C'est juste parfait. Il est parfait. Je souris doucement, l'imaginant de nouveau dans une robe blanche avec un magnifique voile blanc. Trop magnifique. Je remonte doucement le drap sur sa nudité.

Beh quoi ? Si jamais on avait des voisins voyeurs, hein ? J'veux pas qu'ils voient mon chéri tout nu non plus. Ca va pas ?

Je m'appuie sur mon avant-bras, tourné vers lui, et je le regarde dormir, pendant de longues minutes.

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Salut , mon amour .

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Je suis encore perdu dans mes pensées, imaginant le mariage qui n'aura peut-être pas lieu dans les moindres détails. De la liste des invités aux fleurs qu'il y'aura, du nom de mon amour combiné au mien aux larmes de mon frère et peut-être des siens qui seront bien évidemment présents.

Je le sens bouger alors que mes yueux sont toujours portés sur lui mais que mon regard divague. Je me reconcentre sur mon bel ange qui m'embrasse.

_Bonjour mon ange. Bien dormi ?

Une de mes mains caresse son visage alors que je suis appuyé sur l'autre. J'embrasse son nez tendrement en un sourire.

Je commence à me demander si j'aurai un jour le courage de le demander en mariage. J'suis un flippeur moi, et rien que d'y penser je tremble légèrement. C'est fou.

Mais s'il s'en rend compte il va me demander ce qu'il se passe. Et moi j'arriverai pas à mentir alors va falloir que j'lui demande. Et rien que d'penser à ça, je tremble encore plus.

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~~Et oui car comme je l'ai dit hier, moi je veux que Maxime et Ryan se marient Na !~~

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_Oui, j'ai très bien dormi. En même temps, près de toi, c'est difficile de mal dormir.

Je lui souris à mon tour et il hausse un sourcil. Je sens arriver le pire pour moi. Et là dans ma tête je me demande comment je pourrai faire ma demande. Ca sera pas romantique, mais ça sera sincère c'est déjà pas mal.

Je tremblé encore un peu plus, toujours un peu plus. Il carese mon visage. D'habitude ça m'appaise mais là ça n'a pas grand chose de rassurant, je sais pas pourquoi.

_Je ... Enfin ... C'est que ...

Bon allez, prends donc ton courage à deux mains Ryan. J'inspire à fond, lève les yeux vers lui et me jette à l'eau.

_Ca fait déjà plusieurs semaines que j'y réfléchis tu sais. Je ... Enfin je t'aime et j'veux passer le reste de ma vie près de toi. Et je ... Enfin ... Je ... Si tu veux bien bien sûr ... J'aimerai qu'on ... Qu'on se marie ...

Pour du non-romantisme, c'est du non-romantisme à fond ça. J'ai très peur de sa réponse. Après tout, qui voudrait vivre avec moi en étant engagé ? Moi en tous cas j'le ferai jamais si j'y étais pas obligé.

Je baisse lentement les yeux et je regarde mes cuisses couvertes par le drap blanc légèrement tâché de nos ébats d'hier.

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Moi aussi j'aimerais qu'on se marie Ryan .

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