Adrian Wilson
Nombre de messages : 319 Age : 33 Membre préféré des THs : Bill. ♥ Localisation : Sur le pas de la porte à malmener les valises de Bill Date d'inscription : 15/01/2009
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| Sujet: Je ne rentrerais pas ce soir. [A] Dim 10 Mai 2009, 23:26 | |
| Je m'étais levé tôt ce matin là, aucune envie de rester au lit si lui* n'était pas là. La chaleur de son corps me manquait et ce genre de réveil n'était pas des plus agréables. J'étais vraiment accroc, il fallait que je soigne ça vraiment. Le soleil filtrait à travers les volet et je les ouvrait en frottant mes yeux aveuglé par la trop grande luminosité qu'ils percevaient d'un coup. Je regardais l'heure sept heure trente. Après m'être soigneusement préparé je décidais de sortir, je n'allais pas rester enfermé toute la journée et puis le ciel était dégagé.
Je décidais de m'aérer en centre ville flânant entre les boutiques dans lesquelles je n'entrais pas. Vetu d'une simple chemise blanche et d'un jean, je n'avais pas fait de folie ce jour là. C'était simple et décontracté. Les terrasses de café se remplissaient annonçant les beau jours laissant cette saveur d'été répandre l'euphorie autour de moi. Je n'étais pas insensible à cette vague de douceur et relativisait plutôt la situation malgré les jours pénibles que j'avais passé ces derniers temps. J'étais heureux et avait décidé de vivre au jour le jour, après tout dieu seul savait ce qui pourrait arriver, je m'en remettait à son jugement.
Vers onze heures, je jetais un regard à mon téléphone et envoyais un rapide message à Bill. « Tu me manques déjà, je passerais te voir ce soir. Je t'aime <3 » Je souris bêtement et rangeais mon téléphone dans la poche arrière de mon jean. Je bifurquais au carrefour pour m'engager dans une rue, mais sans que je n'ai eu le temps d'avoir ne serais-ce qu'un mouvement de recul, je vis une voiture foncer droit dans ma direction, une voiture qui ne semblait pas décidée à s'arrêter. Elle me renversa violement faisant voltiger mon corps. Ma tête heurta le pare-brise violemment tandis que celui-ci volait en éclat. Je n'eus pas le temps de prendre conscience de ma situation. Ce fut le trou noir.Du sang se répandais sur ma chemise blanche et ne semblait pas vouloir s'arrêter de couler. Ce qu'il s'est passé après, je n'en sais rien, probablement des cris, de l'effroi, des visages terrifiés, une ambulance, des lumières, puis des larmes, quelques larmes surement les siennes, il n'y avait que lui, il n'y avait toujours eut que lui. Mais ne sois pas triste, j'ai été heureux, heureux grâce à toi. | |
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